vendredi 27 mars 2009

Le retour des canards

Nos lecteurs doivent sûrement se dire "c'est bien tout ça, hein, la guerre de Sécession, l'histoire, la F1, et tout le bazar, mais ils sont passés où les canards ?" Et c'est bien normal : ce blog ne s'intitule-t-il pas Le Seigneur des Oiseaux ?

J'avoue ici humblement que je n'ai toujours pas imprimé les exemplaires du roman éponyme en vue de les déposer à la Société des gens de lettres, condition préalable à sa publication sur ce blog. Il faudrait pour cela que je réinstalle mon imprimante sur mon nouveau PC et que j'en change les (onéreuses) cartouches d'encre, qui ont séché à force de ne pas servir souvent. Une autre solution consisterait à attendre sans vergogne que mon patron s'absente du bureau pour l'y imprimer aux frais de mon employeur. Mais c'est mal, n'est-ce pas ?

"Il vous observe et il vous juge" (Paul Binocle)


Néanmoins, il convient effectivement de recentrer le débat, ou du moins de faire en sorte que le sujet principal reste visible, en filigrane, au fil des articles. Une possibilité serait d'insérer régulièrement des images de canards dans mes textes, mais cela risque de déboucher parfois sur des situations incongrues.

A la place, je vous laisse donc découvrir cette autre chanson d'Ultra Vomit dont les textes poignants, je pense, parlent d'eux-mêmes (en même temps, c'est le but) et se passent de commentaires.

On découvrira également avec plaisir ce bonus track extrait de leur deuxième album Objectif Thunes, où nos volatiles préférés ont là encore le premier rôle.

jeudi 26 mars 2009

On fait de la Formule 1, et on est très très cools...

... on roule à 320, et on est des maboules.

Ces paroles d'Ultra Vomit - talentueux groupe de hard rock parodique - nous rappelle que se court dimanche le Grand Prix d'Australie, épreuve inaugurale du soixantième championnat du monde de Formule Un.

Vous ne le savez pas encore, lecteurs et lectrices, mais la F1 est la seule discipline sportive que je suis à peu près fidèlement, depuis plus de quinze ans maintenant. Certains d'entre vous pensent sans doute que ce n'est pas un sport, mais je n'exclus pas, un jour, de prendre le temps de vous expliquer la différence entre conduire et piloter.

J'aime la F1 - et son histoire - à tel point que j'ai dans mes cartons un jeu de plateau, créé par mes soins, qui permet de disputer une saison complète. Il est en "stand-by" depuis longtemps mais les circuits sont réalisés à 75% et la règle continue à évoluer lorsque j'ai suffisamment de temps à y consacrer. Je ne désespère pas de pouvoir en mettre un jour une version en ligne... peut-être. Ce qui m'arrête est surtout une affaire de licence : l'historien que je suis ne peut guère envisager de mettre dans son jeu autre chose que les noms des vrais pilotes et de leurs vraies écuries, mais la Fédération internationale de l'automobile ne verrait probablement pas cela d'un très bon oeil - il faut dire qu'elle est assez près de ses sous.

En attendant, puisque la saison 2009 - la vraie - va bientôt démarrer, écoutons sans plus attendre l'hymne (presque) officiel de la Formule 1.

J'ai l'occasion de publier régulièrement mes commentaires sur la discipline reine du sport automobile dans ce sujet du forum Paranormal-FR (pseudo : Cortex, puis Cortex 2.0 - un jour, je vous parlerai aussi de Minus et Cortex).

Cette image n'a pas d'intérêt particulier, mais le célèbre Paul Binocle a scientifiquement démontré qu'un message de blog est plus intéressant pour les lecteurs s'il contient des images.

vendredi 13 mars 2009

Histoire, encore

Désolé, je n'ai rien trouvé de mieux pour te faire patienter, ô lectorat... Il faut croire que l'histoire m'avait manqué depuis que je m'étais mis à consacrer l'essentiel de mon temps libre à la zététique.

Donc, ô lectorat, tu n'auras comme seule mise à jour que cette annonce : suite à la relecture pertinente et détaillée d'Adrien dit "Saskwash" - qu'il soit remercié à cette occasion - j'ai rectifié ou étoffé quelques passages de mon article sur les causes de la guerre de Sécession. Vive le reviewing dynamique !


En attendant d'autres tribulations du Seigneur des Oiseaux, coin ! à tous !